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1998 | Berlin Biennial, Akademie der Kunst, Berlin, Germany |
Still Life with Flowers
1999 | Galerie fur Zeitgenossische Kunst, Leipzig, Germany |
Capricious Invention of Prisions
1999 Venice Biennale, Venice, Italy | |
Everything that Rises Must Converge
1999 | Foundation Cartier pour l'art Contemporain, Paris, France |
Things Fall Apart
2001 | Museum of Modern Art, San Francisco, California |
Powers of Ten 2001
| Center for Curatorial Studies Museum, Bard, Annandale-on-Hudson, New York |
Everything in its Right Place
2002 | 25th Bienal de Sãn Paulo, Sãn Paulo, Brazil |
The Letting Go
2002 | Museum of Fine Arts, Boston, Massachusetts |
Triple Point of Water
2003 | Whitney Museum of American Art, New York, New York |
Second Means of Egress (Yellow)
2003 | One Metro Center, Washington D.C. |
2005 | Marianne Boesky Gallery, New York, New York |
Corner Plot
| 2006 | Doris C. Freedman Plaza, New York |
Tilting Planet 2006 Malmo Konsthall, Malmo, Sweden
| 2008 | Maison Hermès 8F Le Forum, Tokyo, Japan |
Tilting Planet
2009 | Baltic Centre for Contemporary Art, Newcastle, England |
| 2009 Lyon Biennale, Lyon, France |
2010 Tanya Bonakdar Gallery, New York
Still Life with Landscape
Jérôme Sans écrit pour Sarah Sze
Il y a une ¨morphologie¨ sociale des relations spatiales qui ressemble fort à l'anatomie,ce n'est plus l'idéologie orthodoxe du seul espace cube blanc,mais l'affirmation qu'<<il y a plein de bouts d'espace>>,selon les mots de Georges Perec,qui écrit aussi:<< les espaces sont multiplies,morcelés et diversifés>>.
L'ésthétique du vide
Sarah Sze produit des oeuvres modestes qui errent à la limite du visible et invisible.A l'envers du spectacle du monde ou rares sont les zones de trous,le monde contemporain semble plus que jamais marqué par l'horreur du vide,l'univers est occupé,visuellement et sonorifiquement pas une présence permonente.
L'écologie du quotidien
Elle s'intéresse à ces petits objets usuels auxquels on ne prête guère attention alors qu'ils encombrent notre environnement quotidien dont la surface toujours plus modeste ne cesse de se réduire,Par accumulation d'objets célibataires,cet encombrement ne transpire pas au grand jour,c'est un monde secret,un monde à l'écart du regard indiscret.
Chaque oeuvre du même artiste est un fragement du l'opus,de même que chaque oeuvre est un fragement en soi,ce qui << contraire la tentation de trouver toutes les explications en châne>>,Toujours en attente...Il n'y a pas de fin du mouvement,c'est l'oeuvree ouverte.Roland Barthes de son côte ajoute:<< le fragment est comme l'idée musicale d'un cycle...chaque pièce se suffit, et cependent elle n'est jamais que l'interstice de ses voisines:l'oeuvre n'est fait que de hors taxte>>.
Micro Macro
avec le travail de Sarah Sze,l'oeuil se déplace toujours du Micro au Macro,et vice versa,D'une perpective à macro à l'autre du plus petit au plus grand,au de la vision globale aux détails,D'une dimension à l'autre,cela reste toujours un univers micro qui rapelle les modèles réduits,les maquettes d'orchitectures,les maisons de poupèe,objets quotidiens,à la taille essentiellement modeste ( punaises,coton-tige,allumettes,pilules,boulons,sachets de thé,capscules de lait,soldats en plastique,fils életriques...)des objets bien réels,à leur échelle normale de consommation,comme des paysages de villes en construction vus d'avion ou comme des intérieurs de composants électriques.
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